Selon les statistiques officielles, le nombre de personnes quotidiennement infectées par le Covid-19 serait passé de 20 000 à plus de 35 000 en à peine deux semaines.
Face à cette situation, des voix de plus en plus nombreuses réclament un plan sanitaire d’urgence pour faire reculer la pandémie : vaccination en masse et renforts humains, matériels et financiers pour que l’hôpital public prenne en charge les malades.
Mais voilà, le gouvernement Macron-Castex préfère continuer à faire porter sur la population les conséquences de sa soumission aux trusts pharmaceutiques.
Cerise sur le gâteau : le 18 mars, le Premier ministre annonce de nouvelles mesures de « confinement » pour quatre semaines, dans seize départements. Des mesures prises au fil des heures en fonction de leur degré d’ « acceptabilité ».
Le résultat ? Un gigantesque « n’importe quoi ».
Une attestation obligatoire pour des déplacements à durée illimitée dans un rayon de 10 kilomètres de son domicile ? Indisponible le vendredi, un document incompréhensible de deux pages est mis à toute vitesse sur le site du gouvernement le samedi… avant d’être retiré quelques heures plus tard, puis remplacé par l’obligation de fournir un justificatif de domicile.
« Seuls les commerces vendant des biens de première nécessité resteront ouverts » ? Annoncés comme devant fermer le jeudi soir, salons de coiffure et fleuristes ont pu rouvrir le lendemain.
La cacophonie est telle qu’au lendemain du début des mesures, le ministre Véran affirme le 21 mars : « Je me refuse à parler de confinement tout simplement parce que ce n’en est pas un ! »
Plus personne ne comprend rien de ce qui interdit ou bien autorisé.
Des vaccins en masse et des lits de réanimation pour répondre aux besoins : telles sont les mesures urgentes de protection de la population… que ce gouvernement refuse de prendre.
Dehors Macron, son gouvernement et sa politique !
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